lundi pourri

En me levant tout aller bien , j'étais de bonne humeur, motiver à affronter le journée qui je savais aller être longue

pour une fois, le conducteur de tram a attendu que je traverse cette fichu avenue.

8h30, j'arrive au travail, je demande comment la semaine c'est fini (je suis en stage le lundi et mardi!), je vais prendre mon café, je lis mes mails et je me mets à travailler sur la formation du technicien méthode

9h30 ma tutrice veux que l'on travaille sur les demandes de remboursement, et là on découvre que j'ai fais des erreurs de saisie et donc qu'il faut que je supprime les sessions et que je les resaisisse, je suis trop contente!!

12h - 13h, je suis en pause déjeuné, seul sur un banc!!

13h retour au travail, car le matin j'ai pas pu finir de préparer la réunion de cette apres-midi!

14h réunion : je dois analyser la situation de travail à travers des observations pour la fac, et en plus ce travail servira à l'entreprise. ma tutrice annonce l'objectif global de la réunion et je poursuis.
comme le cursus de formation de "méthode" doit débuter mi-janvier, je ne pourrai faire toutes les observations et je devrais me contenter de construire une fiche de poste sur les paroles du resp méthode!

j'ai pas craqué de la journée, il y a 2 ans j'aurai fondu en larme parceque ca n'aurai pas été dans le sens que je voulais. je me rends compte que c'est pas évident le travail, le vrai. surtout quand on connait pas ce que l'on doit faire, je connais les étapes, des élements mais le faire dans la globalité et en réel c'est... trés intéerssant, c'est un challenge mais j'ai peur de pas le réussir, surtout que ce que je monte déterminera le parcours de formation du methode pendant 3 ans!

18h pour finir la journée, je me suis pris la tete avec cactus (il avait un otre surnom je crois! mais j'ai oublié)

20h je pianote pour mon pc, je discute toujours avec janael mais j'ai l'impression que l'on a rien à ce dire!! à voir, c'est peut etre mon humeur démotivé qui me fais penser ca!

a 22h, je serai probablement au fond de mon lit, seule devant une débilité de latv, pour ne pas penser à la journée de demain ou au non histoire